à l'initiative de
Brigitte Négro, avec Marion Coutarel et Mathias Dou
Parcours
chorégraphique pour l'espace public
avec
2 danseurs, une comédienne, des habitants et un daim
Co-création de
scénettes
« Sous
mes paupières » est un spectacle déambulatoire, une
pérégrination poétique.
Il
s'agit d'embarquer le public dans un parcours où se mêlent
quotidien et extraordinaire où l'on retrouve l'enfance, le jeu…
Création
coproduite par :
Le
Théâtre du Sillon, scène conventionnée pour la théâtre dans
l’espace public
L'Atelline
– Lieu de fabrique des Arts de la rue en Languedoc-Roussillon
Ce
projet a également bénéficié en
des dispositifs :
- accompagnement et financement de la résidence « Agiter avant emploi » mis en place par l’Atelline et La Chartreuse – Centre National des écritures du spectacle.
- DRAC – Région LR - Lycée Jean Moulin à Béziers : Partenaires et financeurs du dispositif « Résidence d'artistes en lycée », résidence de création.
Au départ l'envie de révéler
l'intime, la part cachée, la part de poésie, d'enchantement que
propose un espace urbain mais que proposent aussi les gens qui
l'habitent.
Que se passe-t-il sous nos paupières ?
Sous les paupières de la ville ?
Comment le dedans, l'intime, le
fantasme, les souvenirs, viennent se révéler dans l'espace public
et comment l'espace public vient révéler ce dedans donnant formes
à des situations tantôt burlesque, mythique, ou surréaliste.
Ce qui nous souhaitons interroger avec
ce projet c'est l'endroit de frottement entre le banal et l'extra
- ordinaire, (dans les sens qui s'éloigne du cours ordinaire des
choses ». Cette zone de rencontre, de croisement entre le
quotidien, l'ordinaire et l'insolite Comment l'un vient, nourrir,
révéler, détourner l'autre.
Donner
à voir l'envers du décor
A
partir d'effractions poétiques 3
passeurs invitent
le spectateur à s'éloigner lentement de la réalité : il
s'agit d'explorer la lisière, la frontière invisible d'un monde à
l'autre, d'une temporalité à l'autre, de donner des regards
sensibles sur la ville et sur ses habitants.
La
déambulation au service de la progression poétique
Pour
ce projet la forme déambulatoire nous semble une évidence.
Elle
nourrit le crescendo
dans lequel nous souhaitons amener le spectateur. Nous convoquerons
le public à un rendez-vous précis avec ce désir de partir de
l'endroit où l'on est (physiquement et géographiquement) et au fur
et à mesure de la déambulation, de se laisser déplacer, de se
« décadrer ».
Nous
souhaitons que la fin du spectacle soit un « feu d'artifice de
l'insolite », mêlant « infra et extra-ordinaire »
et «poétique du quotidien».
Les
3 passeurs amèneront donc le public à progresser dans l'espace, à
cheminer sur un parcours (environ 200 mètres) dans des endroits
plutôt type rues, ruelles, places et placettes...
Images surréalistes dans l'espace quotidien
Un
travail en co-création proposé aux habitants
Le
dispositif « agiter avant emploi » à la Chartreuse nous
a confortés dans la nécessité d'intégrer un groupe d'habitants au
projet. En effet, dans ce projet, nous sommes d'abord allés à la
rencontre de personnes pour récolter leurs paroles : matière
textuelle à l'écriture du spectacle. Dans la continuité de cette
démarche, ma volonté est de proposer un espace participatif et
créatif sur le final du spectacle où une dizaine d'habitants
créeraient des situations insolites de sorte que les spectateurs
vivraient un basculement, une rupture de l'espace quotidien vers
l'extra-ordinaire.
nous
proposons aux habitants-participants 3 temps de rencontres pour
créer ensemble des scénettes et participer au spectacle.
FOCAL
Ce projet est hébergé par la structure Pulx
Proposition chorégraphique non dépourvue de ludisme et de comique,
D’une durée de 30min,
collaboration de Ghyslaine Gau, Brigitte Négro, Elsa Decaudin et Julien Guyon.
N’ayant pas de fiche technique,
Se nommant Focal car définissant le dialogue tel un échange de points de vue,
Se demandant : Comment inviter un public à voir d’ici ceci, tout en le laissant libre
de voir d’ailleurs cela ?
4 danseurs-chorégraphes, dans une proposition déambulatoire chorégraphiée à
partir d’un escalier et au travers de trois salles d’un étage du musée des Beaux-Arts
Hyacinthe Rigaud, en silence ou presque, sensibles à la muséographie et aux oeuvres,
sensibles à l’improvisation nécessaire avec le public pour chercher cette fameuse Focal
Comment inviter un public à voir d’ici ceci,
tout en le laissant libre de voir d’ailleurs cela ?
FACES
création 2012
Avec le soutien de : la Mairie de Montpellier et du Conseil Général 34, dispositif ""Chemin de Culture.
Accueil en Résidence: La Bulle Bleue /Montpellier. www.labullebleue.fr
Collège F. Giroud (Vendres).
Salle 3 / Cie Hors Commerce (Hélène Cathala).
Durée 50 mins
Conception : Brigitte Négro
Conception : Brigitte Négro
Collaboration / Vidéo: Cyril Laucournet
Jeux: Diane Peltier, Brigitte Négro
A l'origine de Faces la lecture du roman de Michel Schneider « Marilyn
dernières séances » laissant apparaître une figure aux multiples
facettes derrière un corps surexposé, stéréotypé façon glamour des
années 50 .
J'ai fait partie de ces adolescentes ayant poster et photo d'elle sur
les murs de ma chambre. Des années après elle est toujours
partout.
Au delà du corps "objeïfié" comment cette
figure universelle convoque t- elle à un moment un territoire intime ?
Cette contradiction, ce malaise entre un corps stéréotypé, surexposé et
une fragilité, un déséquilibre permanent cherchant l'enracinement et ne
trouvant qu'un terrain mouvant, que raconte-t- il d'une société? Quelle
frontière entre le mythe et
l'incarnation?
Une surenchère de masques
jouant avec audace , labeur et habileté les clichés de la «femme désir
», du corps parfait. Un corps surexposé , délaissé jusqu'à en devenir
parfois monstrueux. crédit photos Marc Gaillet |
Photo: Marc Gaillet |
REVOX
performance de brigitte négro et mathias beyler pour le Hors Lits 10:
2ème voix / 2ème vie / Plusieurs mémoires / La rivière sort du lit /
Hors lit / Je me souviens d'Ophélie pendant qu'il tire le fil de ses
lits / Il se souvient de la rivière qui n'a pas gardé Ophélie.
EGERIE
l'équipe; sandrine sauron, brigitte négro, patrice barthès, sébastien lenthéric, diane peltier, cyril laucournet.
Egérie est une création chorégraphique librement inspirée des contes de Grimm et plus particulièrement des figures héroïques des contes de Barbe bleue, Celui qui partit en quête de la peur , Cendrillon, Celle qui crache des pièces d'or. Chaque acteur s'approprie de manière singulière et personnelle la quête de son héros. Ils se souviennent alors d'une histoire qui n'est pas la leur et la réinventent. Comment une figure personnelle peut résonner de manière intime et quotidienne.
FRONTIERES (création 2011)
projet soutenu par la ville de Montpellier et le Conseil Général 34 (chemin de culture).
Conception : Brigitte Négro
L'équipe
L'équipe
brigitte négro, sébastien lenthéric, mathias beyler, cyril laucournet.
Frontière
une création chorégraphique dans laquelle nous explorons la
circulation entre le dedans et le dehors.
2 personnes / 2 espaces / 2 déclinaisons de portraits / plusieurs
souvenirs / plusieurs mémoires / plusieurs fantômes / quelle rencontres
possibles?
Comment sont occupés ces territoires qui se trouvent de chaque cotés de
la peau?
Se mettre dans la peau de l'autre / occuper un autre territoire / une
autre place / se démultiplier /
pour cette recherche nous avons utilisé le support de l'image et de
figures cinématographiques ( figures qui participent aussi à la
construction de notre imaginaire, de notre identité).
quelle frontière entre fiction et réalité?
EGERIE
En résidence à l'AIRE, au CCNLR et à St Alban dans le cadre de "Culture à l'Hopital".
Conception: Brigitte Négrol'équipe; sandrine sauron, brigitte négro, patrice barthès, sébastien lenthéric, diane peltier, cyril laucournet.
Egérie est une création chorégraphique librement inspirée des contes de Grimm et plus particulièrement des figures héroïques des contes de Barbe bleue, Celui qui partit en quête de la peur , Cendrillon, Celle qui crache des pièces d'or. Chaque acteur s'approprie de manière singulière et personnelle la quête de son héros. Ils se souviennent alors d'une histoire qui n'est pas la leur et la réinventent. Comment une figure personnelle peut résonner de manière intime et quotidienne.